dimanche 28 février 2010
celiba
Oh mais que vois-je? Nous sommes le 28 et il n'y aura pas de 29 ce mois ci. Et c'est la pleine lune! Et ça fait 8 mois que je suis celibataire et je n'irai même pas célébrer mon nouveau record personnel?! Zut... lol
Relâche
Manquer la nuit blanche, manquer 2 planchers de danse, ce soir encore je ne ferai rien outre de subordonnées relatives coordonnées...
Vraiment, c'est injuste que les étudiants aux metiers professionnels n'aient pas de semaine de relâche, je suis à boute moi aussi, autant sinon plus que les universitaires, les collégiens, les étudiants du secondaire et du primaire, je suis aussi à bout de nerfs que tous les 900 000 étudiants autres que moi qui sont en relâche à ma place.
Vraiment, aussi à bout que quelqu'un qui n'aurait pas eu 2 journées de congés consécutifs depuis environ 6 mois.
Vraiment, c'est injuste que les étudiants aux metiers professionnels n'aient pas de semaine de relâche, je suis à boute moi aussi, autant sinon plus que les universitaires, les collégiens, les étudiants du secondaire et du primaire, je suis aussi à bout de nerfs que tous les 900 000 étudiants autres que moi qui sont en relâche à ma place.
Vraiment, aussi à bout que quelqu'un qui n'aurait pas eu 2 journées de congés consécutifs depuis environ 6 mois.
samedi 27 février 2010
Emmenez-moi - Aznavour
Vers les docks où le poids et l'ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux
Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages
Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus
Sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour
Un verre à la main
Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M'enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève
Où je vois tendant les bras
L'amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu'au matin
Debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n'est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le cœur
En tressant m'a t'on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent
Je fuirais laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le cœur libéré
En chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil...
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux
Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages
Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus
Sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour
Un verre à la main
Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M'enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève
Où je vois tendant les bras
L'amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu'au matin
Debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n'est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le cœur
En tressant m'a t'on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent
Je fuirais laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le cœur libéré
En chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil...
extrait
extrait d'une conversation via messagerie texte:
- "Je veux que tu sois là.
- J'y suis, regarde, tu me tiens au creux de ta main."
- "Je veux que tu sois là.
- J'y suis, regarde, tu me tiens au creux de ta main."
vendredi 26 février 2010
En ce moment, je pourrais être au Unity entrain de danser ma vie comme un Paon sauvage, me sentir vieille dans un bar où la moyenne d'âge varie entre 18 et 20 ans.. Mais à défaut de tout ça, je suis en pyjamas avec ma tisane, chez moi, avec mes chiens, un vendredi soir. Vraiment, la party animal que j'étais jadis commence à n'être qu'un vague souvenir.. Snif snif...
avertissement
Encore un 10/10 en amour dans mon horoscope et je me mets intensivement à la chasse aux étoiles ou aux astres, appelez ça comme vous voudrez.
chronique de mes petits malheurs quotidiens, 2
Ce matin, j'ai une gueule de bois de la mort. Le pire, dans tout ça, c'est que je n'apprendrai même pas de mon erreur et que je vais récidiver.
"'Ça qui est merveilleux!" - Beckett
"'Ça qui est merveilleux!" - Beckett
Horoscope - Gémaux - 27 février 2010
Note du jour: 8/10. Au pays du bonheur, il y a de la place pour vous, et vous avez un fauteuil en première loge. Le ciel signe votre visa pour entrer dans toutes les dimensions de la joie sans restriction. Donc, votre vendredi est tout en pavé uni sans neige! Des pierres sculptées d'invitations polies grâce à votre charme, c'est extra! Au travail? Tout bouge autour de vous, c'est donc le moment pour réaliser vos projets. Côté famille, attendez-vous à de l'imprévu. Quant à vos amours, la soirée vous réserve une agréable surprise. On sonnera peut-être à votre porte, et vous serez enchanté de voir le visage épanoui de la personne qui vous regardera droit dans les yeux.
* I dare you! Cap, ou pas cap? ;-)
* I dare you! Cap, ou pas cap? ;-)
jeudi 25 février 2010
muscle
Depuis que j'ai recommencé à courir, je me suis découvert une tonne de nouveaux muscles dont j'ignorais complètement l'Existence. Par exemple, saviez vous qu'il y a un muscle parmi tout le gras du dedans de cuisse? Que sous toute cette graisse de bedaine de bière, il y a des muscles sur le côté du ventre, en dessous de poignées d'amour?
mercredi 24 février 2010
chronique de mes petits malheurs quotidiens
Non mais sérieusement, il y a des jours où je devrais restée couchée. Je disais donc que je me lève et, jusqu'à là tout allait bien. Noa n'avait pas fait de dégât, j'avais passé une relativement bonne nuit de 10 heures de sommeil sans aucune insomnie en vue, le tout couchée tranquillement en cuillière avec Démonne et Monster sur mon oreiller. La belle vie quoi.
Je me traine jusqu'à la cuisine, j'ai les cuisses un peu raides car j'ai recommencé mon beat estival qui consiste a courire quotidiennement et faire du velo tous les jours, lire, travailler mes textes, boire de la tisane au lieu de la bière, manger des fruits, bref, la petite vie zen que je menais il y a deux ans avant de me mettre en couple avec le diable allergique aux légumes. La vie allait bien, je ne prenais plus mes emails, mon cellulaire était fermés, j'étais complètement déconnectée,le tout en vue de bien réussir l'examen de demain.
Il y avait une magnifique neige qui tombait, c'était vraiment beau. Cette neige qui donne envie de faire des bonhomes de neige avec un foulard et une carotte à la place du nez, de regarder les enfants tomber dans la slush et la soufleuse leur passer dessus. Bref, vous voyez le paysage magnifique.
Je me rends à 'école et, la slush commence a rentrer dans mes bottes. Je prépare mes pièces pour l'examen de reprise qu'on se tape petit peu par petit peu, rien ne concorde, tout est croche, rien ne rentre là où ca devrait. LE 2 heures aloué se termin enfin, dieu soit loué, et je retourne dans ma tite crisse de cabine crasseuse souder du 6 pouces de long. Ouf, mon cerveau est tellement surstrimulé que j'ai l'impression que je vais faire une convulsion sur le champs, un peu comme un japonais devant un jeu vidéo. Mes plaques sont prètes, je m'en vais au poste pour les couper avec une torche et comme je m'installe, y'a un mec du cours (un avec lequelle je ne suis pas particulièrement amie mais qui ne m'a jamais poser de problème jusqu'à présent) qui s'installe devant mon poste. Je n'aime pas ça qu'on me regarde travailler, ça me stresse de blesser quelqu'un et quand je stress alors je fais encore plus de conneries et je risque de me blesser encore plus. Je lui demande de s'en aller, poliment, parce que ça me stress qu'on me regarde. Il ne bouge pas, il me regarde en souriant. Je me dis qu'il n'a pas du entendre a cause de toute le bruit, alors je le répète plus fort en faisant un geste de la main. Il ne bouge toujours pas. Je me vire et regarde un de mes collègues en faisant: non calisse il ne comprends rien?!
Alors je me dis fuck off, il se fera bruler c'est pas mon maudit problème. Je coupe mes pièces. Je stress de me bruler, je n'aime pas ça, mais je coupe mes pièces. J'ai quand même de l'acier en fusion a 1540 degrés celcius qui me revole dessus. C'est chaud, c'est dangereux et j'aime pas qu'on me regarde un point c'est tout. J'éteins ma torche pour ramasser mes pièces, le mec se penche (il fait 2 fois ma grosseur) et me gueule dessus que la prochaine fois que je lui parle de la sorte, il me casse la gueule.
Je ramasse ma pièce, je ne suis pas certaine de bien avoir compris. Je regarde Gab a mes côtés qui venait d'assister a toute la scène et je lui demande: "est-ce que je viens vraiment de me faire menacer de me faire casser la gueule?" il me répond: "ça en a tout l'air". Un autre gars du cours arrive a mon poste d'oxycoupage, je lui demande de reculer pendant que je termine, il n'en fait pas un plat et s'en va plus loin. Je finis mes pièces et je suis un peu sous le choc, mais en même temps j'ai un retour d'appelle d'une veterinaire orthopédiste avec laquelle je devais discuter d'une éventuelle chirurgie pour le chien de mon père. Je sors du local, m'installe avec un callepin de notes: ça ne regarde pas bien côté financier.
Un prof, que j'appelle affectueusement Capitaine Hadock depuis le debut de ce blog, vient s'assoir à mes côtés pendant que je parle au téléphone. J'écoute plus vraiment ce que la vet me dit, je sais qu'il veut avoir ma version des faits.. Mais yé même pas chargé de mon cours en ce moment, comment il fait pour être aussi partout dans l'atelier?! Je finis par raccrocher, il me demande si je suis okay, et me convainc d'aller porter plainte. Je suis embêter. Si je m'étais engueuler avec une autre fille ça n'aurait pas été pareille. Si deux gars s'Étaient engueuler, ça n,aurait as été pareille. Je suis beaucoup trop grande gueule et baveuse pour jouer les victimes, je suis presque outrée. Je lui dit que je vais aller manger, que j'irai voir la directrice après. Je suis un peu troublée en mangeant mon wrap au vegepâté, il ne goûte pas comme d'habitude. Ian me gave de Oréo, c'est un peu comme si c'était du chocolat, ça devrait me faire du bien. Je regarde mon cahier de grammaire dans mon sac et ostie que je me demande pourquoi je suis dans cette école à la con. Mon heure de souper, je voulais simplement coordonner des subordonnées relatives et faire une phrase d'une page de long, c'est tout ce que j'avais de prévu pour ma journée et ça me plaisait.
Bref, mon heure de souper a été plutot courte, j'avais pas la tête a gosser sur de la grammaire. Je suis allée voir la directrice, je lui ai expliquée la situation, elle savait pas comment gérer tout ca et bla bla bla.. Je suis retournée dans le local, et là tout le monde me demandait si ça allait et j'ai sauter les plombs: "JE NE VEUX PU EN ENTENDRE PARLER JUSQU'À CE QUE J'AIE PASSÉ MON PUTAIN D'EXAMEN!!! JE COURES DEUX FOIS PAR JOUR, JE BOIS PU, ME COUCHE TÔT, JE NE LIS MÊME PLUS MES EMAILS NI MON HOROSCOPE JUSTE PAS PAS AFFECTER MA CONCENTRATION, J'AI UNE VIE ZEN DEPUIS 1 SEMIAINE POUR CET OSTIE D'EXAMEN LÀ SACREZ MOI PATIENCE ET LAISSEZ MOI GRINDER! DEMAIN SI JE RÉUSSIS MON EXAMEN ON EN REPARLERA!!!!"
Après, plus personne ne m'en a reparlé. Ça faisait du bien. Mais ça me trottait dans la tête... Alors j'étais distraite... alors je me suis brulée l'avant bras. Il y a des cloches qui forment un triangle. C'est beau.
En sortant, j'ai marché pour me rendre jusqu'à la maison. Il y avait de la slush partout, mais j'étais en bonne compagnie par messages textes, alors ça passait le temps. J'ai décidé d'aller courir quand même, malgré la slush et la tempête. Ça faisait du bien, j'avais les pieds trempes, Démonne trainait de la patte. Je n'ai jamais vue un chien avec si peu d'orgueil.
Je suis rentrée, ça allait mieux, j'avais la tête vide et j,étais prête à prendre ma douche, ma tisane et aller au lit. J'arrive daas ma chambre. Ah non, c'est pas vrai. Ma tablette a lâchée. 15 cadavres de plantes répandues sur mon plancher. Nonnnnnnnnnn mon aloes ferox, ma plante a 50$ dont je prends plus soins que de mon chat!! NOnnnnnnnnnnnnnnnn!!!!!!! Mes cactus!!!!! Nonnnnnnn!!!!!!! Ma plante arraigner que je travaille a sauver depuis que je libérer des mauvais traitements que lui infligeait ma meilleure amie. Nonnnnnnn!!!! DE la terre partout dans mon lit!!! NOnnnnnnnnnn!!!!!!!!
Bref, on aura déjà vue mieux comme thérapie zen que de faire du rempotage à minuit et demi le soir, calvaire!
En ramassant toute la terre, je me suis mise à rire. Lorsque je dors seule, je dors au centre du lit, donc rien ne me serait tomber dessus si j'avais été couché. Par contre, lorsque je ne dors pas seule, c'est l'endroit exacte où je pose ma tête.
La question est: était-ce un signe du destin pour me dire de continuer à dormir seule vous pensez?
Allez fidels lecteurs, dites-moi ce que vous en pensez?
Sur ce, mes plantes vont rester hors de la terre pour cette nuit, faute de pots pour les mettre, et moi je vais aller terminer ma tisane au lit avec un livre... Miam!
Je me traine jusqu'à la cuisine, j'ai les cuisses un peu raides car j'ai recommencé mon beat estival qui consiste a courire quotidiennement et faire du velo tous les jours, lire, travailler mes textes, boire de la tisane au lieu de la bière, manger des fruits, bref, la petite vie zen que je menais il y a deux ans avant de me mettre en couple avec le diable allergique aux légumes. La vie allait bien, je ne prenais plus mes emails, mon cellulaire était fermés, j'étais complètement déconnectée,le tout en vue de bien réussir l'examen de demain.
Il y avait une magnifique neige qui tombait, c'était vraiment beau. Cette neige qui donne envie de faire des bonhomes de neige avec un foulard et une carotte à la place du nez, de regarder les enfants tomber dans la slush et la soufleuse leur passer dessus. Bref, vous voyez le paysage magnifique.
Je me rends à 'école et, la slush commence a rentrer dans mes bottes. Je prépare mes pièces pour l'examen de reprise qu'on se tape petit peu par petit peu, rien ne concorde, tout est croche, rien ne rentre là où ca devrait. LE 2 heures aloué se termin enfin, dieu soit loué, et je retourne dans ma tite crisse de cabine crasseuse souder du 6 pouces de long. Ouf, mon cerveau est tellement surstrimulé que j'ai l'impression que je vais faire une convulsion sur le champs, un peu comme un japonais devant un jeu vidéo. Mes plaques sont prètes, je m'en vais au poste pour les couper avec une torche et comme je m'installe, y'a un mec du cours (un avec lequelle je ne suis pas particulièrement amie mais qui ne m'a jamais poser de problème jusqu'à présent) qui s'installe devant mon poste. Je n'aime pas ça qu'on me regarde travailler, ça me stresse de blesser quelqu'un et quand je stress alors je fais encore plus de conneries et je risque de me blesser encore plus. Je lui demande de s'en aller, poliment, parce que ça me stress qu'on me regarde. Il ne bouge pas, il me regarde en souriant. Je me dis qu'il n'a pas du entendre a cause de toute le bruit, alors je le répète plus fort en faisant un geste de la main. Il ne bouge toujours pas. Je me vire et regarde un de mes collègues en faisant: non calisse il ne comprends rien?!
Alors je me dis fuck off, il se fera bruler c'est pas mon maudit problème. Je coupe mes pièces. Je stress de me bruler, je n'aime pas ça, mais je coupe mes pièces. J'ai quand même de l'acier en fusion a 1540 degrés celcius qui me revole dessus. C'est chaud, c'est dangereux et j'aime pas qu'on me regarde un point c'est tout. J'éteins ma torche pour ramasser mes pièces, le mec se penche (il fait 2 fois ma grosseur) et me gueule dessus que la prochaine fois que je lui parle de la sorte, il me casse la gueule.
Je ramasse ma pièce, je ne suis pas certaine de bien avoir compris. Je regarde Gab a mes côtés qui venait d'assister a toute la scène et je lui demande: "est-ce que je viens vraiment de me faire menacer de me faire casser la gueule?" il me répond: "ça en a tout l'air". Un autre gars du cours arrive a mon poste d'oxycoupage, je lui demande de reculer pendant que je termine, il n'en fait pas un plat et s'en va plus loin. Je finis mes pièces et je suis un peu sous le choc, mais en même temps j'ai un retour d'appelle d'une veterinaire orthopédiste avec laquelle je devais discuter d'une éventuelle chirurgie pour le chien de mon père. Je sors du local, m'installe avec un callepin de notes: ça ne regarde pas bien côté financier.
Un prof, que j'appelle affectueusement Capitaine Hadock depuis le debut de ce blog, vient s'assoir à mes côtés pendant que je parle au téléphone. J'écoute plus vraiment ce que la vet me dit, je sais qu'il veut avoir ma version des faits.. Mais yé même pas chargé de mon cours en ce moment, comment il fait pour être aussi partout dans l'atelier?! Je finis par raccrocher, il me demande si je suis okay, et me convainc d'aller porter plainte. Je suis embêter. Si je m'étais engueuler avec une autre fille ça n'aurait pas été pareille. Si deux gars s'Étaient engueuler, ça n,aurait as été pareille. Je suis beaucoup trop grande gueule et baveuse pour jouer les victimes, je suis presque outrée. Je lui dit que je vais aller manger, que j'irai voir la directrice après. Je suis un peu troublée en mangeant mon wrap au vegepâté, il ne goûte pas comme d'habitude. Ian me gave de Oréo, c'est un peu comme si c'était du chocolat, ça devrait me faire du bien. Je regarde mon cahier de grammaire dans mon sac et ostie que je me demande pourquoi je suis dans cette école à la con. Mon heure de souper, je voulais simplement coordonner des subordonnées relatives et faire une phrase d'une page de long, c'est tout ce que j'avais de prévu pour ma journée et ça me plaisait.
Bref, mon heure de souper a été plutot courte, j'avais pas la tête a gosser sur de la grammaire. Je suis allée voir la directrice, je lui ai expliquée la situation, elle savait pas comment gérer tout ca et bla bla bla.. Je suis retournée dans le local, et là tout le monde me demandait si ça allait et j'ai sauter les plombs: "JE NE VEUX PU EN ENTENDRE PARLER JUSQU'À CE QUE J'AIE PASSÉ MON PUTAIN D'EXAMEN!!! JE COURES DEUX FOIS PAR JOUR, JE BOIS PU, ME COUCHE TÔT, JE NE LIS MÊME PLUS MES EMAILS NI MON HOROSCOPE JUSTE PAS PAS AFFECTER MA CONCENTRATION, J'AI UNE VIE ZEN DEPUIS 1 SEMIAINE POUR CET OSTIE D'EXAMEN LÀ SACREZ MOI PATIENCE ET LAISSEZ MOI GRINDER! DEMAIN SI JE RÉUSSIS MON EXAMEN ON EN REPARLERA!!!!"
Après, plus personne ne m'en a reparlé. Ça faisait du bien. Mais ça me trottait dans la tête... Alors j'étais distraite... alors je me suis brulée l'avant bras. Il y a des cloches qui forment un triangle. C'est beau.
En sortant, j'ai marché pour me rendre jusqu'à la maison. Il y avait de la slush partout, mais j'étais en bonne compagnie par messages textes, alors ça passait le temps. J'ai décidé d'aller courir quand même, malgré la slush et la tempête. Ça faisait du bien, j'avais les pieds trempes, Démonne trainait de la patte. Je n'ai jamais vue un chien avec si peu d'orgueil.
Je suis rentrée, ça allait mieux, j'avais la tête vide et j,étais prête à prendre ma douche, ma tisane et aller au lit. J'arrive daas ma chambre. Ah non, c'est pas vrai. Ma tablette a lâchée. 15 cadavres de plantes répandues sur mon plancher. Nonnnnnnnnnn mon aloes ferox, ma plante a 50$ dont je prends plus soins que de mon chat!! NOnnnnnnnnnnnnnnnn!!!!!!! Mes cactus!!!!! Nonnnnnnn!!!!!!! Ma plante arraigner que je travaille a sauver depuis que je libérer des mauvais traitements que lui infligeait ma meilleure amie. Nonnnnnnn!!!! DE la terre partout dans mon lit!!! NOnnnnnnnnnn!!!!!!!!
Bref, on aura déjà vue mieux comme thérapie zen que de faire du rempotage à minuit et demi le soir, calvaire!
En ramassant toute la terre, je me suis mise à rire. Lorsque je dors seule, je dors au centre du lit, donc rien ne me serait tomber dessus si j'avais été couché. Par contre, lorsque je ne dors pas seule, c'est l'endroit exacte où je pose ma tête.
La question est: était-ce un signe du destin pour me dire de continuer à dormir seule vous pensez?
Allez fidels lecteurs, dites-moi ce que vous en pensez?
Sur ce, mes plantes vont rester hors de la terre pour cette nuit, faute de pots pour les mettre, et moi je vais aller terminer ma tisane au lit avec un livre... Miam!
mardi 23 février 2010
entendu à l'école
En fin de soirée, j'Avais chaud et je m'en fichais de me démolir les bras avec des mini-morceaux de métal qui revolent partout. Un grinder de 15 ampères dans les mains (ça pèse genre 40 lbs), je gossais sur mes morceaux dans la salle de grindage (espèce de garderobe où on sable du métal en orchestran nos grinders comme si c'était des violons):
Un mec me regarde dans le cadre de porte:
- Sais-tu qu'avec un gros grinder et une camisole, t'es pas mal virile.
Ce que je n'ai pas dit car j'y ai pensé 2 minutes trop tard:
"Si je suis viril tu dois être gay a regarder aussi intensivement mon décolleté."
Un mec me regarde dans le cadre de porte:
- Sais-tu qu'avec un gros grinder et une camisole, t'es pas mal virile.
Ce que je n'ai pas dit car j'y ai pensé 2 minutes trop tard:
"Si je suis viril tu dois être gay a regarder aussi intensivement mon décolleté."
ballon bleu
(3.)
Ce matin, je me suis réveillée en riant. La seule enfant cool que je connaisse venait de passer 10 minutes a me taper sur la tête avec un gros balon bleus du type kin ball en me disant "d'être positive" et elle continuait a rire en me cognant sur la tête avec son ballon.
Ce matin, je me suis réveillée en riant. La seule enfant cool que je connaisse venait de passer 10 minutes a me taper sur la tête avec un gros balon bleus du type kin ball en me disant "d'être positive" et elle continuait a rire en me cognant sur la tête avec son ballon.
lundi 22 février 2010
citation
"Inutile de se cacher la vérité. Je ne réagis plus comme avant. Maintenant, je pleure mal. Quelque chose a changé en moi autant qu'ailleurs. Les rues se sont vidées, il n'y a presque plus personne dans les villes, et encore moins dans les campagnes, les forêts. Le ciel s'est éclairci, mais il reste terne. La pestilence des grands charnier a été lavée par plusieurs années de vent ininterrompu Certains spectacles m'affligent encore. D'autres, non. Certaines morts. D'autres, non. J'ai l'air d'être au bord du sanglot, mais rien ne vient.
Il faut que j'aille chez le régleur de larmes.
Les soirs de tristesse, je me replie devant un morceau de fenêtre. Le miroir est imparfait, il me renvoie une image assombrie qu'un peu de saumure trouble encore. Je nettoie la vitre,, mes yeux. Je vois ma tête, cette boule approximative, ce masque que la survi a rendu cartoneux, avec une houppe de cheveux qui a survécu, elle aussi, on se demande pourquoi. Je ne supporte plus guère de me regarder en face. Alors je me tourne vers des détails qui se situent dans le noir de la chambre: les meubles, le fauteuil sur quoi j'ai passé l'après-midi à attendre en songeant à toi, [...]."
-Antoine Volodine, Des Anges mineurs.
Il faut que j'aille chez le régleur de larmes.
Les soirs de tristesse, je me replie devant un morceau de fenêtre. Le miroir est imparfait, il me renvoie une image assombrie qu'un peu de saumure trouble encore. Je nettoie la vitre,, mes yeux. Je vois ma tête, cette boule approximative, ce masque que la survi a rendu cartoneux, avec une houppe de cheveux qui a survécu, elle aussi, on se demande pourquoi. Je ne supporte plus guère de me regarder en face. Alors je me tourne vers des détails qui se situent dans le noir de la chambre: les meubles, le fauteuil sur quoi j'ai passé l'après-midi à attendre en songeant à toi, [...]."
-Antoine Volodine, Des Anges mineurs.
dimanche 21 février 2010
samedi 20 février 2010
tallon aiguille et banc de neige
Ce soir, je rentrais du boulot à pied. J'avais aux pieds mes bonnes vieilles bottes bleues, les mêmes que je portais en secondaire 5 quand je rêvais de révolution. Les mêmes qui m'ont servi d'oreiller en prison, les mêmes que j'avais aux pieds quand j'ai adopté démonne. Ces bottes que j'ai toujours refusé de laisser quelqu'un d'autre porté, qui ont provoqué tant de chicane de couple parce qu'elles étaient usées, de mauvais gout, que je n'avais plus 16 ans et qu'il serait temps que je les jettes. Ces bottes que j'ai caché dans mon casier au boulot de peur que mon ancienne coloc les mette aux vidanges. Bref, mes complices depuis toujours. J'avais les pieds au chaud, j'ai enfin délaissé mes Converses dans les bancs de neige, au mois de février parait que y'était temps.
En arrivant à la hauteur du parc il y avait une jolie fille qui attendait le bus. Certe, le sexappeal est vraiment loin sous un kanuk.
Quand je l'ai dépassé, j'ai du étouffer un fou rire: Une femme en mini jupe et talons aiguilles, lorsqu'elle a le corps pour le porter, vraiment ca me fait tourner la tête. Mais si vous transposer cette image magnifique dans un banc de neige a -10, pas de collant et les souliers pleins de neige, c'est vraiment turn off et passablement ridicule.
Mais c'est un opinion personnel, vous n'êtes pas obliger de le partager.
Antichrist
Vraiment, si je cherchais une source d'inspiration pour écrire une belle histoire, je ne l'aurai pas trouvé dans Antichrist de Lars Von Trier. Certains de mes culturés lecteurs en ont certainement entendu parlé à cause du scandale qu'il a causé au dernier festival de Cannes. Alors ce soir, je comprends un peu pourquoi. Je ne suis pas cinéaste, alors je ne vous emmerderai pas avec mon analyse de symbolismes religieux, de socio post 11 septembre et de psychanalyse de fond de ruelle.
Mais vraiment, si on vous propose de le regarder faites le, malgré tout ce que vous en avez entendu dire. Eco disait qu'un classique, c'est un livre dont vous ressortez transformer quand vous le refermer. Je crois qu'Antichrist va devenir un classique du cinema parce que ce soir, je me sens un peu différente de ce matin.
Note importante: fermez votre cellulaire, ça vous évitera une crise cardiaque quand votre meilleure amie vous appellera pendant que Charlotte Gainsbourg se coupe le clitoris avec des ciseaux rouillés.
vendredi 19 février 2010
**autobiographique**
Des fois être une enfant coincée dans le corps d'une grande personne c'est vraiment chiant. Mais pourquoi personne ne m'a jamais demandé si je voulais être une adulte, non mais c'est vrai est-ce que je peux au moins avoir le libre arbitre de ma vie me semble et si je décide de rejetter le fait que je sois une adulte alors il se passerait quoi? Je veux avoir encore 17 ans et me soucier de rien, pas même des ronds du poêles et des comptes à payer. Ne pas faire ma vaisselle et en acheter de la nouvelle quand il n'y a plus rien de propre. Porter des vêtements que je n'ai pas choisi moi-même, que mes parents ont acheté pour moi même si ca veut dire porter du croteau, parce que je pourrais dire: c'est pas ma faute.
Non mais c'est vrai bordel, c'est écrit où que je devrais me complaire dans un rôle d'adulte et devoir assumer tout ce qui va avec? Et si j'ai pas envie, moi, d'arrêter d'étudier et d'intégrer le marché du travail, si je n'ai aucune envie d'ouvrir les comptes que je recois et encore moins envie de les payer.
Si j'ai envie d'etre amoureuse comme une ado attardée et de me complaire dans mon irréalité, de ne pas être complètement blasée et désilusionnée. De me retrouver 20 ans en arrière et encore regarder mes parents ensemble et croire profondément qu'ils sont heureux et que l'amour éternelle existe ailleurs que dans les films?
J'ai envie de grimper dans un arbre et de déchirer mes jeans. D'avoir les genoux pleins de scratch, les cheveux tout défait, de ne pas encore avoir besoin de déodorant. De glisser au 2e but en jouant au baseball, de voler le troisième but et d'attendre que le receveur fasse l'erreur de relayer au deuxième pour pouvoir voler le marbre et marquer le point gagnant. J'ai envie d'enfourcher mon vélo comme si c'était un cheval, de mettre des cartes de hockey dans les roues pour faire le bruit de la moto que je n'ai pas. J'ai envie de passer l'après midi complet a jouer dans le bois, à se faire croire à un monde imaginaire et irréel où les fées côtoient Bambi pis que sa mère crève pas à la fin parce que les enfants ont pas besoin de savoir qu'on meurt à la fin.
J'ai envie de sauter dans un lac alors que les glaces sont à peine fondues, même si ca veut dire avoir les lèvres bleues et attraper un coup de mort parce qu'il y aurait certainement quelqu'un pour me faire boire du néocitran, me mettre une couverture autour des épaules et me dire: je te l'avais bien dit.
J'ai envie de jouer avec Fais de l'air Fred (mon premier chien) dans la neige, lui lancer des balles de neiges tandis que Démonne grignotte quelque chose qui traine par là. J'ai envie d'un pneu accroché dans un arbre comme balancoire, ou de la balancoir qu'il y avait au bout du balcon dans la maison où j'ai grandi. Me balancer très haut et faire des concours de saut en longueur au risque de me casser une jambe. J'ai envie de faire geler mes bobos dans le congelateur jusqu'à ce que le mal s'estompe.
J'ai envie qu'une tylénol au raisin soit une drogue contrôlée aussi cool que la coke que je m'envoie dans le nez. J'ai envie que le tracteur a gazon soit une formule 1 et non pas une corvée que je DOIVE faire.
J'ai envie de courir avec des ciseaux dans les mains sans savoir que c'est dangereux, manger des guimauves brûlées et trouver ca bon. Avoir une cabanne dans un arbre où je pourrais cacher mes Archie's comic book, ne pas lire l'anglais mais trouver ca cool de dire le titre en anglais.
J'ai envie de déjeuner au Mimosa avec une fondue au chocolat et des tonnes de fraises, mais ça, c'est déjà trop adulte. Faudrait changer ça pour des gaufres au sirop avec des fruits.
J'ai envie de chanter Trois p'tit chats, d'écouter passe-partout avant d'aller prendre mon bain et d'avoir tout un royaume de jouets qui flottent, rester dans l'eau jusqu'à ce qu'elle soit froide et remettre de l'eau chaude pour ne pas aller me coucher tout de suite.
Mais à la place, je parle avec mon blog, en sirotant un verre d'absinthe et je me dis que demain, peut-être, ca ira mieux. Que c'est surement une histoire de manque de soleil, de blues de l'hiver, qu'au pire il doit exister une pillule pour faire passer ça, une infusion de quelque chose ou peut-etre dans le rayon homéopathique. Au pire je pourrai toujours me prendre un rendez-vous à la clinique la plus proche et convaincre quelqu'un que je suis en dépression, me faire médicamenter jusqu'à oublier mon nom, mes comptes à payer, mes 20 000$ de dette. Ou sauter les plombs et réaliser un vieux rêve que je caresse impudiquement: me rendre à l'aéroport avec DÉmonne et prendre le prochain vol disponible et refaire ma vie dnas ce coin là du monde en espérant que ce soit au soleil où il y a de grosses vagues pour surfer ma vie, des nights clubs où danser ma vie. Peut-être que si j'étais plus bohème, je serais moins adulte.
grand corps malade
"Et j’ai compris les règles du jeu, ma vie c’est moi qui vais la peindre
Alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs
Moi quand je regarde par la fenêtre je vois que le béton est en fleur
[...]
La vie c’est gratuit je vais me resservir et tu devrais faire pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles"
Alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs
Moi quand je regarde par la fenêtre je vois que le béton est en fleur
[...]
La vie c’est gratuit je vais me resservir et tu devrais faire pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles"
P'tit bar
Je l'ai regardé traverser le bar, enneigée et magnifique. J'ai continué ma bière, tranquillement au bord du bar. Une voix qui traverse mes cheveux et se rend jusqu'au creux de mon oreille:
- C'est toi?
- C'est moi.
Ses bras se sont refermés autour de mes épaules et ma tête s'est basculée vers l'arrière. Un défi au temps.
- C'est toi?
- C'est moi.
Ses bras se sont refermés autour de mes épaules et ma tête s'est basculée vers l'arrière. Un défi au temps.
citations
Consignés soigneusement dans un Moleskine, je me suis dit que mieux valait diffuser ces phrases que j'ai trouvé si belles récemment...
"Il n'est plus entier de la tête." - H. Castellanos Moya
"Bruits mouillés du dedans-dehors, bonne cadences des ventres qui ont des choses à se dire." - V. Despentes
"Aimable à force d'être lamentable, une question d'adaptation." V. Despentes
"Nous avons besoin d'aventure et d'érotisme, car nous avons besoin de nous entendre répéter que la vie est excitante; et c'est bien entendu que nous en doutons un peu." - M. Houellebecq
"Il n'est plus entier de la tête." - H. Castellanos Moya
"Bruits mouillés du dedans-dehors, bonne cadences des ventres qui ont des choses à se dire." - V. Despentes
"Aimable à force d'être lamentable, une question d'adaptation." V. Despentes
"Nous avons besoin d'aventure et d'érotisme, car nous avons besoin de nous entendre répéter que la vie est excitante; et c'est bien entendu que nous en doutons un peu." - M. Houellebecq
jeudi 18 février 2010
constatation
L'hummus, combiné avec 2 littres de bière blanche et beaucoup de citrons, ça fait faire des rêves fucked up.
C'est certainement la faute des citrons, je ne vois pas d'autres explications.
C'est certainement la faute des citrons, je ne vois pas d'autres explications.
mercredi 17 février 2010
observation #3
À l'épicerie, les caissières jugent les gens.
J'attendais mon tour à la caisse et, d'une oreille ditraite, j'entendais la dame demander aux clients s'ils voulaient des sacs plastiques. Elle l'a demandé aux 4 clients avant moi qui n'avaient que deux ou trois articles.
J'ai déposé mon gruau bio, ma brique de toffu, mes noix de soya, mon jus de pomme old fashioned et mon sucre de canne sur le tapis roulant. En fait, tout ça est tombé de mes bras parce que ça faisait tout de même une bonne quantité d'articles. Elle a scanné silencieusement mes choses. J'ai repoussé mes dreadz derrière mes oreilles.
Elle ne m'a jamais offert de sac.
Les caissières croient connaitre les clients par ce qu'ils mettent dans leurs paniers.
J'attendais mon tour à la caisse et, d'une oreille ditraite, j'entendais la dame demander aux clients s'ils voulaient des sacs plastiques. Elle l'a demandé aux 4 clients avant moi qui n'avaient que deux ou trois articles.
J'ai déposé mon gruau bio, ma brique de toffu, mes noix de soya, mon jus de pomme old fashioned et mon sucre de canne sur le tapis roulant. En fait, tout ça est tombé de mes bras parce que ça faisait tout de même une bonne quantité d'articles. Elle a scanné silencieusement mes choses. J'ai repoussé mes dreadz derrière mes oreilles.
Elle ne m'a jamais offert de sac.
Les caissières croient connaitre les clients par ce qu'ils mettent dans leurs paniers.
mardi 16 février 2010
ce soir
Ce soir, j'aurais envie d'écrire. Encore une fois, je n'ai rien à dire. Mais on sait tous que ça ne m'arrête que très rarement.
Alors voilà, j'ai envie d'écrire parce que j'ai envie de pleurer et écrire ça me permet souvent de pas le faire. Alors, je massacre tous les problèmes de ma vie dans mes textes: a grands coups d'extincteurs contre la tête ou pire, je les faits crever a petit feu en leur transmettant le VIH.
Mais ce soir, je n'ai même pas envie d'assomer, de tuer, de trucider, de contaminer quiconque. J'ai juste envie de m'endormir dans des bras, le nez dans un cou et ne pas penser à rien d'autre, pas même au cadran qui va sonner bientot, encore...
Alors voilà, j'ai envie d'écrire parce que j'ai envie de pleurer et écrire ça me permet souvent de pas le faire. Alors, je massacre tous les problèmes de ma vie dans mes textes: a grands coups d'extincteurs contre la tête ou pire, je les faits crever a petit feu en leur transmettant le VIH.
Mais ce soir, je n'ai même pas envie d'assomer, de tuer, de trucider, de contaminer quiconque. J'ai juste envie de m'endormir dans des bras, le nez dans un cou et ne pas penser à rien d'autre, pas même au cadran qui va sonner bientot, encore...
Absynthe
Barbara, artiste pleine d’intelligence, de sensibilité et de poésie chantait si bien l’absinthe :
…Ils buvaient de l’absinthe
Comme on boirait de l’eau,
L’un s’appelait Verlaine,
l’autre c’était Rimbaud,
Pour faire des poèmes,
On ne boit pas de l’eau.
…………………………
On a bu de l’absinthe
Comme on boirait de l’eau
Et je t’aime, je t’aime.
Oh mon Dieu que c’est beau
Bien plus beau qu’un poème
De Verlaine ou de Rimbaud.
…Ils buvaient de l’absinthe
Comme on boirait de l’eau,
L’un s’appelait Verlaine,
l’autre c’était Rimbaud,
Pour faire des poèmes,
On ne boit pas de l’eau.
…………………………
On a bu de l’absinthe
Comme on boirait de l’eau
Et je t’aime, je t’aime.
Oh mon Dieu que c’est beau
Bien plus beau qu’un poème
De Verlaine ou de Rimbaud.
lundi 15 février 2010
Meilleur que le chocolat
J'aime beaucoup parler de chocolat:
Ma maman dit toujours: «La vie est comme une boîte de chocolats: tu ne sais jamais sur quoi tu vas tomber.» - Forest Gump
"Je ne connais rien de plus érotique qu'une tablette au fort pourcentage de cacao." [Paul-Loup Sulitzer]
"Le chocolat nous rend pervers, il éveille en nous la culpabilité, il nous pousse au péché, il nous donne la santé, il nous rend chic et heureux."
[Elaine Sherman]
"Ne croyez pas que le chocolat soit un substitut à l'amour... L'amour est un substitut au chocolat."
Miranda Ingram
Ma maman dit toujours: «La vie est comme une boîte de chocolats: tu ne sais jamais sur quoi tu vas tomber.» - Forest Gump
"Je ne connais rien de plus érotique qu'une tablette au fort pourcentage de cacao." [Paul-Loup Sulitzer]
"Le chocolat nous rend pervers, il éveille en nous la culpabilité, il nous pousse au péché, il nous donne la santé, il nous rend chic et heureux."
[Elaine Sherman]
"Ne croyez pas que le chocolat soit un substitut à l'amour... L'amour est un substitut au chocolat."
Miranda Ingram
dimanche 14 février 2010
vendredi 12 février 2010
jeudi 11 février 2010
qui est le plus weard
A l'école il y a un nouveau. Personne ne l'aime, pas même sa mère, j'en suis certaine. Il travaille dangereusement, il n'est pas très doué, il bouge tout le temps, dans les cours théoriques il pose des questions stupides.
Hier, sur l'heure du souper, il était tout seul à faire des push up dans un corridor et je j'ai vue de loins en me rendant aux toilettes:
Moi: Est-ce que t'es hyperactif ou juste weard?
Lui: (la bouche pleine de bonbon) Heumpfff quoi? qu'est-ce que tu veux dire??!! Moi, j'Suis bizzare moi??!! (sur un ton vraiment hight limite ressemblance avec un coké)
Moi: bah, c'est juste une question, tu bouges tout le temps.
Lui: oui, j'bouge tout le temps (incapable de me regarder).
Moi: okay donc t'as une pathologie diagnostiquée?
Lui: *néan dans le regard* pathoquoi?
Moi: heum, laisse faire.
Quand j'ai raconté ca à mes brutes, ils n'en revenaient juste pas que je lui aie demandé ça. Parait que je suis weard.
Hier, sur l'heure du souper, il était tout seul à faire des push up dans un corridor et je j'ai vue de loins en me rendant aux toilettes:
Moi: Est-ce que t'es hyperactif ou juste weard?
Lui: (la bouche pleine de bonbon) Heumpfff quoi? qu'est-ce que tu veux dire??!! Moi, j'Suis bizzare moi??!! (sur un ton vraiment hight limite ressemblance avec un coké)
Moi: bah, c'est juste une question, tu bouges tout le temps.
Lui: oui, j'bouge tout le temps (incapable de me regarder).
Moi: okay donc t'as une pathologie diagnostiquée?
Lui: *néan dans le regard* pathoquoi?
Moi: heum, laisse faire.
Quand j'ai raconté ca à mes brutes, ils n'en revenaient juste pas que je lui aie demandé ça. Parait que je suis weard.
mercredi 10 février 2010
observation #2
Souvent, je transforme des détails anodins en gros drames pour que ce soit plus amusant à raconter.
dimanche 7 février 2010
philo matinale post café
L'Horroscope est une salope.
La météo est une salope.
Les matins sont de salauds.
Et les fins de semaines sont fait pour faire la fête, pas dormir et travailler, calvaire!
La météo est une salope.
Les matins sont de salauds.
Et les fins de semaines sont fait pour faire la fête, pas dormir et travailler, calvaire!
samedi 6 février 2010
vendredi 5 février 2010
anonyma
Des fois, je me dis que je ne devrais pas rendre l'adresse de mon blog publique, en publier un de manière complètement anonyme seulement pour pouvoir écrire ce que j'ai envie d'écrire et etre lue par des gens qui ne me connaissent pas.
jeudi 4 février 2010
musical
J'aimerais que la vie soit un musical.
Imaginez, à la clinique, les clients qui dansent, les portes des salles de consultation qui s'ouvrent et les veto qui font les back vocales. Les chiens qui hochent la tête en meme temps pour suivre le beat de All that Jazz. Et durant la finale, je pourrais monter sur le comptoir de la réception en marchant lentement, tout faire tomber:
Velma:
Come on babe
We're gonna brush the sky
I bet you lucky Lindy
Never flew so high
'Cause in the stratosphere
How could he lend an ear
To All That Jazz
Ensuite, je sortirais dans la rue et j'aurais, bien entendu, un parapluie avec lequel je pourrais tourner autour des lampadaires en chantant et tout cela serait normal. DAns l'autobus, une chorale se formerait instantanément, les chorégraphies iraient de soit.
Le soir venu, j'entrerais dans un bar et je prendrais le micro:
I got chills,
they're multiplyin',
and I'm losin' control
Cause the power you're supplyin',
it's electrifyin'
You better shape up,
cause I need a [wo]man,
and my heart is set on you
You better shape up,
you better understand,
to my heart
I must be true
Nothing left,
nothing left for me to do
Chorus:
You're the one that I want(you are the one I want),
ooh ooh ooh, honey
The one that I want (you are the one I want),
ooh ooh ooh, honey
The one that I want (you are the one I want),
ooh ooh ooh, honey
The one I need (the one I need),
oh yes indeed (yes indeed)
Je porterais une robe des années 50, avec de gros pois rouges dessus et qui ressemblerait a un cupcake quand je tournerais sur moi-même.
Imaginez, à la clinique, les clients qui dansent, les portes des salles de consultation qui s'ouvrent et les veto qui font les back vocales. Les chiens qui hochent la tête en meme temps pour suivre le beat de All that Jazz. Et durant la finale, je pourrais monter sur le comptoir de la réception en marchant lentement, tout faire tomber:
Velma:
Come on babe
We're gonna brush the sky
I bet you lucky Lindy
Never flew so high
'Cause in the stratosphere
How could he lend an ear
To All That Jazz
Ensuite, je sortirais dans la rue et j'aurais, bien entendu, un parapluie avec lequel je pourrais tourner autour des lampadaires en chantant et tout cela serait normal. DAns l'autobus, une chorale se formerait instantanément, les chorégraphies iraient de soit.
Le soir venu, j'entrerais dans un bar et je prendrais le micro:
I got chills,
they're multiplyin',
and I'm losin' control
Cause the power you're supplyin',
it's electrifyin'
You better shape up,
cause I need a [wo]man,
and my heart is set on you
You better shape up,
you better understand,
to my heart
I must be true
Nothing left,
nothing left for me to do
Chorus:
You're the one that I want(you are the one I want),
ooh ooh ooh, honey
The one that I want (you are the one I want),
ooh ooh ooh, honey
The one that I want (you are the one I want),
ooh ooh ooh, honey
The one I need (the one I need),
oh yes indeed (yes indeed)
Je porterais une robe des années 50, avec de gros pois rouges dessus et qui ressemblerait a un cupcake quand je tournerais sur moi-même.
rêve, chien nus et autres divagations
La nuit dernière, j'ai fait un rêve étrange. J'imagine que c'était à cause du beurre de Peanut que j'ai mangé avant de me coucher... C'est drôle comment tout nous semble bon, une fois qu'on s'est laissé engloutir par un verre de trop. Jusqu'à oublier que je n'aime pas le beurre de peanuts, c'est peu dire! Enfin bref...
Je me rendais aux locaux temporaires de la humain society où j'ai déjà donné un coup de main après la fermeture de plusieurs puppy mills. C'est vraiment un endroit glauque qui, étrangement, ressemble a une usine à chien. Il y avait 3 salles avec des cages allignées les unes aux côtés des autres (ça c'est la description du lieu réel, pas de mon rêve), des chiens partout, ca jappais, ca urlait. J'étais triste de ne pas y avoir été au départ quand les fractures ouvertes, les yeux crevées et les plaies infectées sont arrivés. Plus de la moitier on été euthanasié pour des raisons humanitaires. Les chiens étaient classés par grosseurs. Bien entendu, je me suis amouraché du plus gros chien de la place (un bullmastif) et 2 semaines plus tard, elle habitait chez mon père, à la campagne. Parait que c'était magnifique la premiere fois que cette grosse fille a vue de la neige (elle est née dans une cage et n'avait jamais vue l'extérieur avant l'âge de 2 ans).
Enfin bref, maintenant que vous voyez un peu les lieux, transposés les dans ma tête éthylique en pleine nuit et imaginez que j'y retourne, 2 ans plus tard, et que certains des chiens que j'ai soigné à l'époque s'y trouvent encore. En m'y promenant, j'ai trouvé un petit caniche noir, le model tea cup, vraiment petit. Je l'ai mis dans la poche de ma chemise de l'école. Il avait la même texture qu'un furet. Il se promenait dans ma poche, et semblait s'y trouver à l'aise. Je suis allée voir le mec de l'administration pour lui dire que je le prenais pour la journée, pour le sociabilisé, lui changer les idées. Il n'était pas très heureux de mon initiative, mais il m'a laissé partir avec.
Je suis rentrée à la maison, et je l'ai senti mou dans ma poche. C'était comme la souris de Lenny dans des souris et des hommes, j'étais persuadée de l'Avoir flatté trop fort. Mais finalement, en le secouant un peu, il a repris ses esprits. Je l'ai sorti de ma poche et je l'ai mis sur la table devant mon coloc et sa copine (qui était celle qu'elle est dans son identité (Jo) mais qui dans mon rêve était une ancienne voisine que je ne vois plus) . En le mettant sur la table, il est devenu un chien nois a crête d'environ une quinzaine de livres. Ou peut-être que c'était juste un gros caniche avec le cushing, je ne sais pas. Mais dans mon rêve, j'étais persuadée, dès le départ, que c'était un chien nu (si vous n'avez jamais vu cette race, allez voir dans google, ca vaut vraiment la peine... c'est vraiment adorable).
Je l'ai laissé à l'appartement parce que je devais me rendre quelque part. Je crois que c'était à mes cours. Quand je suis revenue, la copine de mon coloc l'avait rapporté aux locaux parce qu'il faisait trop de bruits. Il avait jappé et hurlé toute la journée.
Je ne sais pas pourquoi je raconte ça... Je crois que je suis du pour une portée de bébés biberons, d'écureuils, de chatons, de chiots... Fichue horloge biologique.
Je me rendais aux locaux temporaires de la humain society où j'ai déjà donné un coup de main après la fermeture de plusieurs puppy mills. C'est vraiment un endroit glauque qui, étrangement, ressemble a une usine à chien. Il y avait 3 salles avec des cages allignées les unes aux côtés des autres (ça c'est la description du lieu réel, pas de mon rêve), des chiens partout, ca jappais, ca urlait. J'étais triste de ne pas y avoir été au départ quand les fractures ouvertes, les yeux crevées et les plaies infectées sont arrivés. Plus de la moitier on été euthanasié pour des raisons humanitaires. Les chiens étaient classés par grosseurs. Bien entendu, je me suis amouraché du plus gros chien de la place (un bullmastif) et 2 semaines plus tard, elle habitait chez mon père, à la campagne. Parait que c'était magnifique la premiere fois que cette grosse fille a vue de la neige (elle est née dans une cage et n'avait jamais vue l'extérieur avant l'âge de 2 ans).
Enfin bref, maintenant que vous voyez un peu les lieux, transposés les dans ma tête éthylique en pleine nuit et imaginez que j'y retourne, 2 ans plus tard, et que certains des chiens que j'ai soigné à l'époque s'y trouvent encore. En m'y promenant, j'ai trouvé un petit caniche noir, le model tea cup, vraiment petit. Je l'ai mis dans la poche de ma chemise de l'école. Il avait la même texture qu'un furet. Il se promenait dans ma poche, et semblait s'y trouver à l'aise. Je suis allée voir le mec de l'administration pour lui dire que je le prenais pour la journée, pour le sociabilisé, lui changer les idées. Il n'était pas très heureux de mon initiative, mais il m'a laissé partir avec.
Je suis rentrée à la maison, et je l'ai senti mou dans ma poche. C'était comme la souris de Lenny dans des souris et des hommes, j'étais persuadée de l'Avoir flatté trop fort. Mais finalement, en le secouant un peu, il a repris ses esprits. Je l'ai sorti de ma poche et je l'ai mis sur la table devant mon coloc et sa copine (qui était celle qu'elle est dans son identité (Jo) mais qui dans mon rêve était une ancienne voisine que je ne vois plus) . En le mettant sur la table, il est devenu un chien nois a crête d'environ une quinzaine de livres. Ou peut-être que c'était juste un gros caniche avec le cushing, je ne sais pas. Mais dans mon rêve, j'étais persuadée, dès le départ, que c'était un chien nu (si vous n'avez jamais vu cette race, allez voir dans google, ca vaut vraiment la peine... c'est vraiment adorable).
Je l'ai laissé à l'appartement parce que je devais me rendre quelque part. Je crois que c'était à mes cours. Quand je suis revenue, la copine de mon coloc l'avait rapporté aux locaux parce qu'il faisait trop de bruits. Il avait jappé et hurlé toute la journée.
Je ne sais pas pourquoi je raconte ça... Je crois que je suis du pour une portée de bébés biberons, d'écureuils, de chatons, de chiots... Fichue horloge biologique.
mercredi 3 février 2010
observation
Hier, je suis allée danser. Ça faisait du bien, ça faisait longtemps et en prime, je me suis fait draguer. Bref, une belle soirée très agréable sur l'égo. Mais j'ai remarquer un truc qui m'a un peu troublé et qui m'a rappelé pourquoi, habituellement, je danse toute seule et non pas avec les gens qui se trouvent à ma proximité:
Avez-vous déjà remarqué comment 2 personnes qui dansent ensemble ressemblent étrangement à des Paons qui font des parades?
Avez-vous déjà remarqué comment 2 personnes qui dansent ensemble ressemblent étrangement à des Paons qui font des parades?
lundi 1 février 2010
j'aurais tellement du la mettre sur Bonheur en Vrac volume III
I want you to want me.
I need you to need me.
I'd love you to love me.
I'm beggin' you to beg me.
I want you to want me.
I need you to need me.
I'd love you to love me.
I'll shine up the old brown shoes, put on a brand-new shirt.
I'll get home early from work if you say that you love me.
Didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Feelin' all alone without a friend, you know you feel like dyin'.
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
I want you to want me.
I need you to need me.
I'd love you to love me.
I'm beggin' you to beg me.
I'll shine up the old brown shoes, put on a brand-new shirt.
I'll get home early from work if you say that you love me.
Didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Feelin' all alone without a friend, you know you feel like dyin'.
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Feelin' all alone without a friend, you know you feel like dyin'.
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
I want you to want me.I need you to need me.
I'd love you to love me.I'm beggin' you to beg me.
I want you to want me.
I want you to want me.
I want you to want me.
I want you to want me.
I need you to need me.
I'd love you to love me.
I'm beggin' you to beg me.
I want you to want me.
I need you to need me.
I'd love you to love me.
I'll shine up the old brown shoes, put on a brand-new shirt.
I'll get home early from work if you say that you love me.
Didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Feelin' all alone without a friend, you know you feel like dyin'.
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
I want you to want me.
I need you to need me.
I'd love you to love me.
I'm beggin' you to beg me.
I'll shine up the old brown shoes, put on a brand-new shirt.
I'll get home early from work if you say that you love me.
Didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Feelin' all alone without a friend, you know you feel like dyin'.
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
Feelin' all alone without a friend, you know you feel like dyin'.
Oh, didn't I, didn't I, didn't I see you cryin'?
I want you to want me.I need you to need me.
I'd love you to love me.I'm beggin' you to beg me.
I want you to want me.
I want you to want me.
I want you to want me.
I want you to want me.
Ce soir, j'ai fait du lavage. Je n'avais rien de particulier à laver, mais j'ai fait du lavage.
Lorsque j'ai acheté mon assouplisseur liquide, il me rappelait quelque chose.
Ce soir, je viens de me souvenir et je veux le jetter.
Joyeux anniversaire, même si je te hais. Cette année, tu n'auras pas d'arbre en terre cuite: un bungalow a laval devra te contenter.
Lorsque j'ai acheté mon assouplisseur liquide, il me rappelait quelque chose.
Ce soir, je viens de me souvenir et je veux le jetter.
Joyeux anniversaire, même si je te hais. Cette année, tu n'auras pas d'arbre en terre cuite: un bungalow a laval devra te contenter.
01 02 2010
le 1 février 2010 est une date palindrome, c'est illarant: 01 02 2010
En ce moment, j'aimerais bien écrire quelque chose, mais en fait, je n'ai rien à dire. Mais depuis quand est-ce que ça m'empêche à quoi que ce soit? Bah... J'ai juste rien à dire, c'est triste.
En ce moment, j'aimerais bien écrire quelque chose, mais en fait, je n'ai rien à dire. Mais depuis quand est-ce que ça m'empêche à quoi que ce soit? Bah... J'ai juste rien à dire, c'est triste.
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